Showguns - Alors, je bois - текст песни, слова, перевод, видео

Allez patron ! Encore un dernier verre ! Ce n’est pas le premier, je sais... Et alors ? J'en suis fier ! T'as l'impression que je suis seul ? Mais faut pas croire ce que l'on voit, t'as bien cru voir des tas de choses t'as même l'impression que je bois ! Je me désaltère, monsieur, je me parfume l'esprit, je chavire, je tangue, je balbutie. Tout ça me donne de la contenance pour mieux apprécier l'existence, appréhender ce qu'on appelle l'opportunité et la chance, alors je bois, et alors ? Je bois !

On me juge parce que je bois mais j'ai l'ivresse communautaire, j'ai le bonheur d'avoir le droit de ne pas être fait pour te plaire. Je suis libre comme personne et je n'ai peur que de moi-même, pas vraiment le meilleur homme, mais toujours sincère dans la peine. Je suis le gars qui parle de tout, pas regardant sur le sujet. Y'en qui me traite de fou, me dise que je suis un raté, que la vie ce n'est pas ça, faut rester sérieux à mourir, qu'aux étrangers, on ne parle pas, qu'il est interdit de sourire. Allez patron ! Encore un dernier verre ! C’est le troisième, je sais, mais moi je reste fier ! T'as l'impression que je suis seul ? Mais faut pas croire ce que l'on voit, t'as bien cru voir des tas de choses t'as même l'impression que je bois ! Je me désaltère, monsieur, je me parfume l'esprit, je chavire, je tangue, je balbutie. Tout ça me donne de la contenance pour mieux apprécier l'existence, appréhender ce qu'on appelle l'opportunité et la chance, Alors je bois, et alors ? Je bois !

Vous semblez tous bien mieux que moi sous vos manières impeccables, au volant d'une belle voiture parés de mines irréprochables. Mes accoutrements

Vous amusent, mon élocution divertit, riez avant qu'elle ne vous use, la belle tradition du mépris ! Rien qu'une brève de comptoir pourrait me faire hurler de rire même si la vrille de mon regard laisse toujours présager le pire. Je ne suis pas pour autant fini, malgré ce que tout le monde me dit, moi au moins je ne passe pas ma vie à dénigrer père et autrui ! Allez patron ! Encore un dernier verre ! C’est le quatrième, je sais, mais j’ai besoin d’être fier ! T'as l'impression que je suis seul ? Mais faut pas croire ce que l'on voit, t'as bien cru voir des tas de choses t'as même l'impression que je bois ! Je me désaltère, monsieur, je me parfume l'esprit, je chavire, je tangue, je balbutie. Tout ça me donne de la contenance pour mieux apprécier l'existence, appréhender ce qu'on appelle l'opportunité et la chance, alors je bois, et alors ? Je bois !

J'en ai vécu bien des choses, pas forcément toutes avouables, j'ai le mensonge en overdose et l'émotion souvent palpable. Je porte l'avenir de l'homme un peu plus que vous le pensez. Rien ne vous sert d'ainsi paraître et faire semblant d'être impliqués. J'entends les gens qui se déchirent pour savourer de belles chimères, de beaux lauriers au goût aride, échangés en troquant leur mère. Les aveux bien sous tous rapports d'un homme qu'on emmène en prison d'avoir, même sans aucun alcool, perdu jusqu'à la moindre raison. Allez patron ! Encore un dernier verre ! C’est le dernier, allez ! Je me dois d’être fier ! T'as l'impression que je suis seul ? Mais faut pas croire ce que l'on voit, t'as bien cru voir des tas de choses t'as même l'impression que je bois ! Je me désaltère, monsieur, je me parfume l'esprit, je chavire, je tangue, je balbutie. Tout ça me donne de la contenance pour mieux apprécier l'existence, appréhender ce qu'on appelle l'opportunité et la chance, alors je bois, et alors ? Je bois !